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2 articles taggés Services secrets

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Les relations entre les services secrets du général de Gaulle et leurs homologues Britanniques, II sur II

Le dernier point de divergence d'importance est la critique intense des Britanniques du caractère politique du BCRA. Celui-ci ne se serait pas contenté de collecter des renseignements d'intérêts militaires, mais aurait préparé l'après-guerre. Or, mêler ces choses-là est contraire à la tradition britannique. La section « NM » (non-militaire) des services français semble confirmer ce fait reproché. M.R.D Foot écrit à ce sujet, à propos des agissements de Passy : « qui avait le temps [en pleine guerre], de réfléchir à l'après-guerre ou de calculer ses actes dans cette seule perspective ? ». Le même auteur joue les conciliateurs en déclarant aussi que les empiètements du SOE n'étaient dus qu'à « la volonté de rétablir en France une société ouverte d'hommes libres et en mesure de se gouverner eux-mêmes comme ils l'entendaient[1] » ! Il ne faut pas oublier qu'il fit lui-même partie du SOE à cette époque... Porch renchérit, affirmant que de Gaulle, général sans troupes, politique sans mandat, n'aurait eu que le renseignement pour s'affirmer. L'affaire de Dakar déjà évoquée aurait aussi été le départ d'une croyance selon laquelle les agissements de Passy et de ses services étaient plus intéressés par le soutien politique à de Gaulle que le sabotage ou la subversion... Il est en effet indéniable qu'après un début de guerre où « la nature des informations recueillies par le service du capitaine Dewavrin était majoritairement d'ordre militaire et psychologique, le général lui ayant interdit de recueillir tout renseignement d'ordre politique »[2], les choses ne furent plus aussi tranchées par la suite. En fait, le Bureau central de renseignement et d'action était avant tout constitué de civils ou de militaires de réserve, ce qui explique en partie cette « dérive ». De plus, il fallait effectivement « réfléchir à l'après-guerre », « occuper le terrain », à l'heure de « la constitution en métropole du Front national par le PCF [Absolument rien à voir avec le Front national actuel, donc], qui souhaite unifier ainsi les maquis de résistance de gauche ». Cette action « incite le général de Gaulle à développer une action politique au sein de la Résistance, parallèlement à son action militaire »[3]. Cela s'inscrivait avant tout dans le projet gaullien de réinstauration de la République en France et n'a été ni systématique, ni immédiat, ni aussi tranché qu'on a pu l'écrire[4]. Pour Passy, agir politiquement permettait de raidir, d'accroître, la résistance française et, par ricochet, de développer les capacités de renseignement. D'où, par exemple, l'exfiltration vers l'Angleterre de personnalités de la Résistance. Les Britanniques ne voulurent rien entendre et, selon le même Passy, ils s'entêtèrent à ne pas avertir les Français à croix de Lorraine de l'arrivée et du départ de leurs compatriotes qui ne dépendaient pas d'eux, continuant ainsi de les « capter » pour leur propre usage. Sébastien Albertelli juge cette conviction des Français libres « sans doute assez fondée »[5].Pourtant, les Britanniques eux-mêmes, malgré leurs affirmations péremptoires de vouloir cesser toute activité avec les gaullistes plutôt que de leur donner le contrôle du renseignement en France... Durent changer leurs fusil d'épaule courant 1942, en pleine confrontation de Gaulle/Giraud : « les services alliés craignirent de voir se tarir le flux de renseignement qui leur parvenait par le canal du BCRA s'ils penchaient trop nettement en faveur des giraudistes. [...] Cette crainte constitua indéniablement un élément de la réflexion des alliés. Il n'est pas interdit de penser qu'elle les incita à ne pas pousser trop loin la pression qu'ils exerçaient alors sur le général de Gaulle »[6].
Au final, on voit que les différences d'appréciation autour de ce sujet sont nombreuses et parfois vives. Il y a ainsi un décalage entre les mémoires et témoignages de ceux qui firent les faits, et entre le travail des historiens, historiens eux-mêmes rendant un son de cloche différent selon qu'ils soient originaires d'un côté ou de l'autre de la Manche. Olivier Forcade et Sébastien Laurent peuvent à cet égard très bien illustrer le propos : « Quant aux relations du BCRA avec les britanniques de l'IS et du SOE, elles étaient très particulières dans la mesure où ces services avaient formé les hommes de Passy dont ils contrôlaient par ailleurs depuis l'été 1940 les liaisons aériennes et radio avec la métropole. En fin de compte les Alliés tiraient grand avantage d'avoir plusieurs interlocuteurs français, situation qui les mettait dans la possibilité de jouer alternativement les uns contre les autres et de demander aux premiers ce qui avait pu être refusé par les seconds »[7]

[28.000e visite atteinte à 11h28 ce matin, merci à tous. N'oubliez pas non plus mon second blog]

[1] Des Anglais dans la Résistance: le service secret britannique d'action (SOE) en France, 1940-1944, Paris, Tallandier, 2008, p. 221-222.

[2] Laurent (Sébastien), « Renseignement militaire et action politique. Le BCRA et les services spéciaux de l'armée d'armistice » in Lacoste Pierre (dir.), Le renseignement à la française, Paris, Economica, 1998, p. 84.

[3] Faure (Claude), Aux services de la République : du BCRA à la DGSE, Paris, Fayard, 2004, p. 46.

[4] Les titres des articles de Sébastien Laurent le montrent bien. C'est une ambivalence complexe.

[5] Albertelli (Sébastien), op. cit., p. 27.

[6]Albertelli (Sébastien), « Le BCRA, service de renseignement de la France Libre », Revue Historique des Armées n°247, 2e trimestre 2007, p. 52-59.

[7] Rivet (Louis), Journal de bord du chef des services secrets de 1936 à 1944, Paris, NME, 2010, présenté et annoté par Olivier Forcade et Sébastien Laurent, p. 559. 



Tags : de Gaulle, france libre, BCRA, Services secrets, Intelligence service
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#Posté le mardi 29 novembre 2011 05:26

Les relations entre les services secrets du général de Gaulle et leurs homologues Britanniques, I sur II

J'ai décidé d'aborder cette question sous un angle plus historiographique: où en est-on sur le sujet? Ce n'est pas un exercice que je fais habituellement ni qui me plaît le plus, mais ça change et vous donnera bon nombre de références bibliographiques. 
 
Partie non négligeable de la nébuleuse de la France libre, les services spéciaux du général de Gaulle participèrent au même titre que les autres structures de celle-ci à sa reconnaissance comme allié à part entière du combat contre l'axe. Mieux, les résultats qu'ils engrangèrent tout au long de la guerre « constituèrent un des atouts dont le général de Gaulle estimait pouvoir jouer dans ses relations avec les alliés »[1]. Toutefois, du fait des priorités Britanniques et de la politique d'indépendance menée par le chef de la France libre, les relations avec ceux-ci ne furent pas toujours une sinécure, connaissant même des crises nuisant gravement à l'efficacité des services[2]. Il est donc intéressant d'analyser ce qui a été dit sur ces relations à plusieurs reprises conflictuelles, bien que nécessaires aux deux parties. On verra donc ce que les protagonistes ont pu écrire sur la question, puis ce qu'en disent les historiens, tant Français que Britanniques. Cela permettra notamment d'illustrer le fait suivant, très bien résumé par Stéphane Hessel : « [Le BCRA] a été analysé avec plus ou moins de parti pris par tous les historiens de la Seconde  Guerre mondiale.[3]»
Ce qui est certain, et ce sur quoi tous les auteurs sont d'accord, est que la France libre organisa ses services secrets ex nihilo, avec un personnel qui n'était pas issu du monde du renseignement. Leur chef, le colonel Passy, en est le meilleur exemple : il était un ancien professeur de fortification et vétéran de la campagne de Norvège. Le général de Gaulle lui-même le confesse, « ce terrain de l'action clandestine était, pour nous, tout entièrement nouveau. Rien n'avait jamais été préparé en France en vue de la situation où le pays était jeté »[4]. Il fallut donc s'entendre avec les Britanniques pour le financement, le matériel et la formation du personnel, la France libre manquant de tout. Un accord fut donc trouvé entre les Français et l'Intelligence Service, dès juillet 1940. C'est à partir de ce point que les interprétations commencent à diverger... En effet, Passy, dans ses mémoires, affirme que c'est là un accord sur un pied d'égalité entre deux partenaires, car dépendant l'un de l'autre. Les Britanniques, surpris par la rapidité de l'avancée allemande, n'auraient eu le temps de rien préparer sur le continent et les Français, disposés à envoyer des agents sur le sol national pour fournir du renseignement, n'avaient ; eux, pas les moyens d'agir seuls. En fait, les services Britanniques ne partaient pas de rien et, si l'attaque allemande les avait un temps secoués, ils avaient vite pris des mesures, notamment s'appuyer sur les autres gouvernements en exil à Londres. De plus, et surtout, jamais l'idée de partenaires égaux ne fut envisagée par les Britanniques. Leur attitude envers l'OSS (Office of Strategic Services) Américain est à cet égard très révélatrice et fait dire à Sébastien Albertelli que « l'IS refusait avec intransigeance le principe même d'une collaboration sur une base égalitaire avec ses partenaires »[5].
Les mémoires de Passy, qui reflètent bien les problèmes de coopération avec les Alliés, « commettent » le même genre d'appréciations plusieurs fois, quoique de manière retenue, justification caractéristique de ce genre d'ouvrage[6]. Ainsi, il y affirme avoir, à l'instar de de Gaulle, été intransigeant avec les Britanniques d'entrée de jeu. En réalité, ce fut une évolution qui n'aboutit qu'en 1941, après environ une année de frictions avec les Britanniques. Jusque-là, pour s'attirer les « bonnes faveurs » de ses partenaires, « il se refusait à engager une épreuve de force avec les Britanniques et il aspirait au contraire à établir une collaboration étroite et cordiale avec eux »[7]. Lui-même et ses services reprochaient à de Gaulle son attitude, de manière parfois dure. Ses mémoires sont donc expurgés de ces heurts avec son chef et du caractère progressif de ce changement car, devenu lui-même chantre de l'intransigeance, il ne voulut pas faire état de sa première attitude, beaucoup plus conciliante.
 D'ailleurs les disputes tournèrent beaucoup moins autour des soucis purement  matériels que de l'évolution du « climat » entre Churchill et de Gaulle. Ainsi, si Guy Perrier, ancien résistant, affirme à la suite de Passy qu' « il fallait [...] à chaque fois demander, réclamer, supplier et toujours batailler avec les services anglais pour obtenir la moindre chose, y compris le minimum »[8]... Sébastien Albertelli le nuance fortement, sinon le contredit : « le BCRA accusa donc les Britanniques de brider son action en rationnant le matériel. En réalité, les demandes d'armes, de matériel ou même de fonds furent longtemps pourvues sans difficulté »[9]. Enfin, selon le même auteur, Passy, magnifie un peu trop son rôle dans la généralisation des réseaux en France. Même commentaire concernant sa victoire pour imposer des codes de chiffrement Français, qui est plus un symbole qu'autre chose... symbole qui lui a permis de «soutenir, jusqu'à la fin de la guerre, la fiction d'un respect de la souveraineté française par les Britanniques »[10].
Un autre sujet d'importance est celui du recrutement des agents, qui fut toujours délicat. Il faut dire que les Français arrivant en Angleterre étaient soumis à un interrogatoire dans les murs de Patriotic School, institution qui formait jusque-là les enfants d'officiers. A moins qu'ils n'expriment explicitement le désir de rejoindre les rangs de la France libre, les Britanniques tentaient de les « débaucher » pour leurs propres services. Cette décision fut très mal perçue par les hommes du général de Gaulle et « allait être à l'origine de  la plupart des tensions avec les services secrets britanniques et ce jusqu'en 1944 »[11]. La controverse demeure, car les historiens anglais ne présentent pas la chose comme aussi systématique. Ainsi Douglas Porch insiste sur la bonne réception des Français à Patriotic School et affirme, qu'à ce stade difficile de la guerre (1941), les récriminations de Passy  à ce sujet étaient hors de propos, picrocholines[12]. De plus, si Passy affirme dans ses mémoires que, malgré les difficultés, il sut  toujours collaborer avec ses homologues britanniques, allant même jusqu'à l'amitié (avec le colonel Dansey, adjoint du chef de l'IS par exemple)... Porch écrit assez sévèrement que l'Intelligence service se méfiait de l'enthousiasme de cette jeunesse peu préparée, qu'il qualifie de « soi-disant service de renseignements»[13]. Selon lui, les agents britanniques préféraient avoir affaire avec leurs-ex collègues de Vichy ou les services des gouvernements réfugiés à Londres[14]... Il critique aussi le choix des hommes par de Gaulle, « délibérément choisis d'un ½il incongru »[15]. L'intéressé admet qu'il craignait, certes, au BCRA « le romantisme, la légèreté, parfois l'escroquerie »[16]... Mais également qu'il eut de bons chefs, notamment Passy lui-même qu'il semble beaucoup plus apprécier que Porch, ce dernier allant jusqu'à s'interroger sur le choix de son nom de guerre... Plus que ses empoignades avec Churchill ou « l'affaire Patriotic School » le même auteur estime aussi que de Gaulle a été tenu en ignorance des grandes questions concernant la France du fait de la mauvaise préparation de l'expédition de Dakar. Selon lui, l'échec serait en partie dû à la mauvaise sécurité des services français. Ce fut là le « début d'une suspicion de pénétration »[17] par l'ennemi. Or, il n'est pas le seul auteur anglo-saxon à évoquer ce fait ! Ce manque de cloisonnement, les imprudences sont pointées du doigt et auraient été à l'origine de pertes très lourdes, pertes qu'admet Stéphane Hessel. Pourtant, lui et Passy affirment la justesse de leurs techniques : « Les résultats que nous obtenions confirmaient souvent la valeur de nos méthodes et nous y puisions une réelle autorité auprès des  grands patrons de l'Intelligence militaire britannique »[18]. Porch, lui, estime que, contrairement aux unités britanniques, la collecte de renseignement des agents du BCRA était parfois artisanale et il critique les dires de Passy à propos du bombardement massif de la France par les Alliés. Lui préférer une série de sabotages localisés, comme il l'aurait voulu était, dans sa réflexion, intenable pour des populations en proie aux représailles allemandes. Il rapporte ainsi que l'hostilité des civils contre ce genre d'action, notamment celles menées par le SOE (Special Operations Executive, branche qui opéra pour aider les mouvements de résistance), est un thème fréquent dans les mémoires du temps de guerre[19].

[1]Albertelli (Sébastien), « Le BCRA, service de renseignement de la France Libre », Revue Historique des Armées n°247, 2e trimestre 2007, p. 52-59.

[2] « Il faut rappeler régulièrement au Général que l'ennemi numéro un est l'allemand, car, pour lui, s'il cédait à sa première pente, ce serait plutôt l'Anglais ». Pierre Brossolette, in Kersaudy (François), De Gaulle et Churchill, Paris, Perrin, 2001, p. 189. A la même page, Dewavrin, dit Passy, chefs desdits services, décrit les effets des brouilles entre les deux hommes sur eux.

[3] Hessel (Stéphane), Danse avec le siècle, Paris, Seuil, 2007, p. 67.

[4] Gaulle (Charles de, général), Mémoires de Guerre. L'appel. L'unité. Le Salut, Paris, Plon, 1989 ; p. 136.

[5]Albertelli (Sébastien) « Le BCRA, service de renseignement de la France Libre », Revue Historique des Armées n°247, 2e trimestre 2007, p. 52-59.

[6] « Passy éprouva une certaine gêne au moment d'écrire le chapitre de ses mémoires traitant des relations du BCRA avec les services secrets britanniques. Il ne souhaitait pas donner l'impression d'avoir consacré l'essentiel de son temps et de son énergie à lutter contre ses homologues alliés. » Albertelli (Sébastien), Les services secrets du général de Gaulle : le BCRA 1940-1944, Paris, Perrin, 2009, p. 210.

[7]Albertelli (Sébastien) « Le BCRA, service de renseignement de la France Libre », Revue Historique des Armées n°247, 2e trimestre 2007, p. 52-59.

[8] Perrier (Guy) Le colonel Passy et les services secrets de la France libre, Paris, Hachette littératures, 1999, p. 57.

[9] Albertelli, op. cit., p. 213.

[10]Albertelli (Sébastien) « Le BCRA, service de renseignement de la France Libre », Revue Historique des Armées n°247, 2e trimestre 2007, p. 52-59

[11] Albertelli (Sébastien), op. cit., p. 52.

[12]Porch (Douglas), The French secret services: from the Dreyfus affair to the Gulf war, Basingtoke London, Macmillan, 1995, p. 189.

[13] « so-called intelligence service », Ibid., p. 176.

[14] Sébastien Albertelli (op. cit., p. 210), ne relève pas ce point mais tempère lui aussi Passy, du fait de ses ambitions pour son service et pour la France libre  il en vint à la situation suivante :  « de plus en plus frustrés et soupçonneux, Passy et ses hommes naviguèrent entre la recherche d'un modus vivendi avec les services secrets britanniques, le fantasme d'une épreuve de force et, finalement, des récriminations aussi abondantes qu'inopérantes ».

[15] Porch, op. cit., p. 177.

[16] Gaulle (Charles de, général), op. cit., p. 137.

[17] Porch (Douglas), op. cit,. p. 182.

[18] Hessel (Stéphane), op. cit., p. 68.

[19] Porch (Douglas), op. cit., p. 253.
Image: André Dewavrin, dit "Passy"
. Les relations entre les services secrets du général de Gaulle et leurs homologues Britanniques, I sur II



Tags : de Gaulle, france libre, BCRA, Services secrets, Stéphane Hessel
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